Avant l’événement qui aura lieu le vendredi 31 mai, Pierre Farjot, vice-président du Club Athlétique du Roannais en charge des courses hors-stade revient sur l’organisation des 10 km où il est aussi le speaker et se confie sur ses débuts.
– Pourquoi il y a 20 ans, avez-vous délaissé le football roannais pour la course à pied ?
J’ai donné énormément au foot, avec beaucoup de satisfactions, mais après 30 années, j’étais usé. À l’époque, j’étais en surpoids, j’avais 20 kg à perdre, je me suis pris en main et je les ai perdus par ce moyen-là. Aujourd’hui encore, je cours cinq fois par semaine, avec des sorties parfois de deux heures.
– Que représente la préparation des 10 km du Coteau ?
C’est une course avec le label FFA, c’est-à-dire qu’elle est qualifiante pour les championnats de France. Sur le plan purement sportif, il n’y a pas de différence avec les 10 km de Roanne. Pour la logistique, du côté du club ce sont 50 bénévoles et le Comité des fêtes nous apporte 28 signaleurs.
– Il y a 3 ans, vous avez changé le parcours intra-muros avec désormais un passage sur le pont et une boucle à Roanne. Qu’est-ce que cela a changé ?
C’était pour éviter tous ces virages et les rues où il n’y avait pas beaucoup de spectateurs. Le but au Coteau, c’est de faire une fête autour de la course à pied avec la participation des gamins.
– Peut-on faire mieux que la performance de 29’02 qui remonte à 2021 ?
C’est toujours possible, tout dépend des qualités de l’athlète et des conditions atmosphériques, on l’a vu récemment avec la chaleur aux 10 km de Roanne.
ÉCHO + Bulletin d’inscription auprès des établissements scolaires ou ICI 10 KM |